Recevoir simplement : Bienvenue dans ma maison en vie !

Recevoir simplement : Bienvenue dans ma maison en vie !

Avant, j’avais tendance à virer un peu folle, lorsque je recevais à la maison.

Même que j’étais assez désagréable parce que j’étais hyper stressée à cause du ménage de la préparation des repas, des drinks…..être vraiment sûre que tout est sur la coche…..et souvent cela ne l’était même pas ! Il fallait aussi que le gazon soit coupé et les mauvaises herbes enlevées. 

Je perdais une journée complète à faire le ménage, la nourriture pour finalement arriver au moment fatidique où les invités arrivaient et j’avais de la difficulté à passer un moment relax.

Je perdais une journée complète à faire le ménage, la nourriture pour finalement arriver au moment fatidique où la famille arrivait et j’avais de la difficulté à passer un moment relax.

 

Probablement que tu te retrouves là-dedans si tu es perfectionniste…

Ouf ! C’était très lourd pour moi et je n’arrivais même pas à profiter de mes invités, car je n’étais pas dans le moment présent.

J’ai changé ma perception.

Aujourd’hui, j’arrive à recevoir, quand ma maison est moins rangée et que le gazon est long, parce que j’ai compris que les gens viennent nous voir nous, pas pour critiquer notre maison. Ils ne viennent pas voir une Mélanie parfaite, mais plutôt une Mélanie présente et chaleureuse. Je n’ai plus envie de me rendre folle pour l’apparence extérieure, je préfère de loin préserver mon bien-être intérieur.

 

Et maintenant j’ai remplacé cette phrase : « Ma maison est en bordel. » par « Ma maison est en vie ! »

 

C’est tellement plus positif et c’est la réalité ! Parce qu’avec des enfants, on ne peut pas avoir une maison qui ressemble à des pages de magasine !

Alors tu penseras à moi quand tu feras ta « freak » du ménage.

 

 

Mélanie De Langis est praticienne Access Bars(R) et créatrice de malas et bracelets en pierres semi-précieuses. Elle a fondé JustM.

 

Un outil gratuit à télécharger : La liste qui fait du bien!

Est-ce que je peux avoir la tablette ?

Est-ce que je peux avoir la tablette ?

Vos enfants demandent régulièrement la tablette, le téléphone, la télévision ou les jeux vidéos… Voici un truc pour diminuer le nombre de demandes et la négociation !

 

Effectivement, il est possible de gérer le temps des écrans d’une manière simple et efficace en déterminant un horaire fixe d’utilisation.

Établir un horaire fixe pour diminuer l’imprévisibilité.

 

-Vous affichez un calendrier grand format dans la cuisine, à la hauteur des enfants. Chacun doit pouvoir le consulter.

 

-Vous déterminez des journées et des heures fixes pendant lesquelles les enfants peuvent utiliser les écrans.  Par exemple les lundis, mercredis et vendredis de 17h à 17h30 et les dimanches de 7h à 9h.  Idéalement, l’horaire est identique d’une semaine à l’autre.

-Vous utilisez une couleur spécifique pour les écrans (tablette, jeux vidéos, téléviseur, ordinateur, téléphone intelligent) et d’autres couleurs pour les autres activités telles que cours de gymnastique, fête d’enfants…. Cela facilitera le repérage sur le calendrier.

 

Et le plus important…

 

Référez-vous au calendrier lorsque les enfants demandent du temps d’écrans : « Regardons s’il y a du temps d’écrans aujourd’hui. »  « Voyons voir si c’est l’heure d’allumer ta tablette. »

 

-Faites preuve de constance, de cohérence et de persévérance.  Vous verrez que les enfants intégreront rapidement cette façon de faire si vous ne vous laissez pas tenter par des petites exceptions.

 

Moins de demandes et moins de conflits.

Tout simplement…

 

En éliminant les zones de « peut-être que j’ai une chance d’avoir la tablette », vous diminuez les conflits qui sont reliés à l’imprévisibilité.  Il y aura donc moins de négociation, de frustration et moins de stress !  Cela aidera à maintenir une relation saine aux écrans et une bonne relation parent-enfant.  

 

Téléchargez le PDF gratuit : 10 moyens simples d’éviter les crises.

Un outil pratique pour simplifier la gestion des écrans.

 

 

 

 

Véronique Leblanc est coach familial et conférencière. Elle a fondé Simplicité familiale pour promouvoir un mode de vie sain et bienveillant pour tous.

 

L’histoire du petit garçon : l’éducation et la créativité.

L’histoire du petit garçon : l’éducation et la créativité.

Le petit garçon

Une histoire qui démontre que nous avons le pouvoir de cultiver la curiosité, la spontanéité et la créativité des enfants.

Il était une fois un petit garçon qui allait à l’école.  Il était vraiment petit et l’école était très grande.

Mais lorsqu’il se rendit compte qu’il pouvait entrer directement dans sa classe en arrivant de dehors, il fût très content.  L’école ne lui semblait alors plus aussi grande qu’avant.

Un bon matin, le petit garçon allait à l’école depuis déjà quelques temps, son enseignante dit à toute la classe : «Aujourd’hui, nous allons dessiner.»

Il savait dessiner toutes sortes de choses : des tigres et des lions, des poules et des vaches, des trains et des bateaux, et encore.  Il sortit ses crayons de couleur et se mit, dès lors, à dessiner.

Mais son enseignante ajouta alors : «Attendez, nous ne sommes pas encore prêts à commencer!» Puis, elle attendit que tous ses élèves la regardent avant de poursuivre.

«Très bien» dit-elle. «Nous allons dessiner des fleurs.»

«Parfait», se dit le petit garçon.  Il adorait dessiner des fleurs. Il lui arrivait souvent d’en dessiner pour sa maman. Il se mit donc à en dessiner de très belles, des roses, des tulipes, des orangées, des bleues…

Encore une fois, son enseignante dit : «Attendez! Je vais vous montrer comment faire.»

Elle dessina une fleur rouge avec une tige verte.

«Voilà comment on dessine une fleur.», ajouta-t-elle. «Vous pouvez maintenant commencer à dessiner.»

Le petit garçon examina la fleur qu’elle avait dessinée. Puis il regarda les siennes. Il aimait mieux les siennes, mais… il n’en dit rien. Il retourna sa feuille de papier et dessina une fleur comme celle que son enseignante avait dessinée: rouge avec un tige verte.

(…)

Et le petit garçon apprit très vite à attendre, à regarder, et à tout faire de la même façon que son enseignante. Et, il cessa très vite de faire des choses à sa propre façon.

Puis, un bon jour, la famille du petit garçon déménagea dans une autre ville et il dut alors fréquenter une autre école. Cette école-là était encore plus grande que l’autre. Et il ne pouvait pas entrer directement dans sa classe. Il devait monter de longs escaliers et parcourir de longs corridors avant d’arriver à sa classe.

Et, le premier jour où il y alla, sa nouvelle enseignante dit : «Aujourd’hui, nous allons faire un dessin.»

«Parfait», se dit le petit garçon et il attendit que son enseignante lui montre comment faire.  Mais celle-ci ne dit alors rien de plus et elle se mit à circuler dans les rangées.

Lorsqu’elle arriva tout près de notre petit garçon, elle lui dit : «Tu n’as pas envie de dessiner aujourd’hui?»

«Mais oui» dit-il. «Qu’est-ce que je vais dessiner?»

«Je ne le sais pas», lui répondit-elle. «C’est ton choix, tu as sûrement des talents pour le dessin. Nous allons voir lorsque tu auras terminé.»

«Comment dois-je faire?» dit le petit garçon.

8 actions concrètes pour des enfants plus créatifs. Téléchargez le pdf ici.

«Comme tu veux», lui dit-elle.

«De quelle couleur?», demanda-t-il.

«À toi de choisir», lui répondit-elle. «Si tous mes élèves dessinaient la même chose, de la même couleur, je ne pourrais jamais savoir qui a dessiné quoi!»

«Je ne sais pas», ajouta le petit garçon.

Et, il se mit à dessiner une fleur rouge avec une tige verte…

Histoire de Helen G. Buckley

Véronique Leblanc est coach et conférencière. Elle a fondé Simplicité familiale pour promouvoir un mode de vie sain et bienveillant.